
Au dire du réalisateur lui-même, La vie après Siham serait le dernier volet d’une trilogie commencée avec Toi, Waguih (2005), suivie de La Vierge, les Coptes et moi (2012). Que faire de l’absence d’une mère dont tout n’a pas été encore dit ? Ne devait-il pas faire un film avec elle ? C’est alors que s’impose le détour par le père qui, du coup, prend plus de place. Suivent les archives et le recours à des images de films de Youssef Chahine. Le tout monté avec humour et bonhomie…