Festival 2020

Affiche de la 18ème édition du FCAPA

18ème édition du Festival des Cinémas d’Afrique du pays d’APT, du 22 au 28 janvier 2021.

Edition 100% en ligne et gratuite, labellisée par la Saison Africa2020 ( Janvier-Septembre 2021 )
  • 7 longs métrages (2 fictions et 5 documentaires)
  • 4 courts métrages
  • Au total, 8 pays du continent africain ont été représentés (Afrique du Sud, Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Maroc, Mozambique, Tunisie)

Durant ce festival, un film par jour était disponible gratuitement sur notre site, ainsi qu’un débat en direct avec le réalisateur ou la réalisatrice du film. Nous avons également créé deux tables rondes.

Tous les débats et rencontres sont à revoir en cliquant ici.


Après moult hésitations et différents scénarios (en présentiel ou pas en présentiel ? partiellement ou totalement en ligne ?), voilà l’équipe du Festival des Cinémas d’Afrique finalement fixée : A la lumière des dernières restrictions annoncées, la décision est prise : la 18ème édition se tiendra exclusivement en ligne.

Un film par jour et deux le samedi et le dimanche. Pas de salle donc, pas de public en chair et en os, mais la diffusion se fera via internet, accessible gratuitement à tous, en direct et en replay. L’inconvénient, c’est d’abord la perte de la chaleur que seul permet le contact direct, et, plus important encore, l’impossibilité d’obtenir des films, essentiellement des fictions, dont les distributeurs ne se permettraient pas, pour des raisons évidentes, de brûler la carrière commerciale.

L’avantage, c’est l’acquisition, souhaitée et très probable, d’un nouveau public, sans doute plus jeune, et plus large, les films étant visibles à l’échelle planétaire. L’équipe se réjouit de pouvoir orienter son offre vers les spectateurs africains, destinataires premiers de la matière proposée. Neuf programmes donc, sept longs métrages, et huit courts, documentaires et fictions, onze pays représentés. Et une dizaine d’invités sur place. Les projections en ligne seront systématiquement suivies d’un débat retransmis en direct à partir d’un plateau ingénieusement installé à la chapelle des Carmes.

S’ajoutent à cela deux tables rondes, retransmises également en direct, autour des questions de l’apport des femmes cinéastes africaines et des défis de la diffusion en ligne. Autre consolation : les séances scolaires se dérouleront tous les matins dans les différents établissements scolaires, en présence des cinéastes et/ou des animateurs. On ne dérogera pas non plus au célébrissime marathon vidéo qui, autre fruit de la contrainte, sera ouvert à l’international.

Rappelons que la présence des jeunes scolaires, désormais et définitivement rebaptisés FCAPA junior, n’en demeure pas moins forte : se poursuivent, comme de coutume, gazette, émissions radios, présentations de films, jurys et, pour la deuxième année consécutive, une programmation de séance courts métrages organisée en collaboration avec le Vélo Théâtre. La détermination de l’équipe, certes contrariée, demeure, contre vents et covid, bien forte car l’aventure se poursuivra aussitôt l’édition terminée avec, jusqu’à juillet, un programme de projections, de rencontres, de débats, dans les mairies environnantes et les villes de la région, à la faveur de la célébration des cultures africaines dans le cadre d’Africa2020. Bon vent…

Tahar Chikhaoui, commissaire de la saison Africa2020 au Festival des Cinémas d’Afrique du pays d’Apt

Bilan de la 18ème édition du Festival des Cinémas d’Afrique du pays d’APT en quelques chiffres

  • 1956 spectateurs uniques
  • 4236 vues (films et débats)
  • Connexions depuis 51 pays différents
  • 40 spectateurs connectés en direct tous les soirs (site, facebook et youtube)
  • Débats et tables rondes regardés en replay env. 300 fois
  • 382 élèves en projections scolaires
Revoir la clôture du festival, le bilan de cette édition 100% en ligne et gratuite. Emission enregistrée en direct jeudi 28 janvier à 21h30

EDITO
– CONTRE VENTS ET COVID –

Cliquez ici pour télécharger la grille horaire du 18ème Festival des Cinémas d’Afrique.